« J’ai repris espoir »

Dans de nombreux pays, les malades de la lèpre sont encore considérés comme des exclus et mis au ban de la société. Ils mènent une vie en marge de la société, sans perspective d’intégration. Évités par le grand-public et souvent par leurs familles, ils mènent une existence marquée par la solitude et de fortes douleurs physiques.

« Mon père avait beaucoup de peine à me reconnaître comme son fils » raconte le père de famille Imran, du Bangladesh. Enfant déjà, il était atteint par la lèpre et vivait quotidiennement le rejet et le mépris. Jusqu’au jour où il a pu participer au projet de lutte contre la lèpre. Découvrez dans le récit en annexe comment Imran a été soutenu et comment il a retrouvé le goût de vivre.

Auteur
Armée du Salut Développement international

Publié le
5.12.2020