« Le souci de ne pas savoir où j’allais dormir m’accablait. »

« Le souci de ne pas savoir où j’allais dormir m’accablait. »

Dustin Peter : « Je ne pouvais que rêver d’une telle chance. »
Dustin Peter : « Je ne pouvais que rêver d’une telle chance. »
© Kenneth Nars / Droits limités

Un chez-soi. En cette période de pandémie de COVID-19, nous avons pris conscience de l’importance pour chacun de nous de disposer d’un chez-soi. Et pourtant, même dans notre Suisse opulente, il y a des personnes qui n’en ont pas.

Pour la plupart des personnes touchées, le fait d’être sans logement constitue une charge psychique énorme, un gros stress et amène de la frustration. Les besoins fondamentaux comme le besoin de sécurité et le besoin de disposer d’une sphère privée ne sont pas pris en compte. C’est exactement ce qu’a vécu Dustin Peter (22 ans). Enfant déjà, il ne se sentait nulle part chez lui. Ses parents étaient dépassés par la charge qu’il représentait et l’ont abandonné. Devenu majeur, son père a cessé les paiements pour son hébergement et il s’est retrouvé sans abri du jour au lendemain.

Dans l’actuel mailing, nous racontons à nos donatrices et donateurs comment Dustin a retrouvé un chez-soi et la confiance en lui grâce au projet « housing first » de l’Armée du Salut de Bâle. Il vaut la peine de consacrer un moment à la lecture de son récit.

Vers l’histoire

Nous sommes de l’avis que le sans-abrisme devrait être révolu. Avec vous, nous voulons écrire l’histoire et éradiquer le sans-abrisme du XXIe siècle.

Auteur
Armée du Salut, Fundraising

Publié le
10.11.2021