Les fu­turs Ca­dets du Centre de for­ma­tion se pré­sentent : Miriam Schulz

Comment avez-vous reçu, compris votre vocation ?

Le chemin a été très long, avec un mélange de paroles venant clairement de Dieu, de révélations perçues bien plus doucement, de demandes régulières et du défi de faire la distinction entre mes pensées et celles de Dieu. Bien sûr, il m’a fallu faire aussi des pas courageux pour sortir de la barque en direction de l’eau… Malheureusement, je suis bien moins téméraire et spontanée que Pierre !  

Qu’attendez-vous de la formation comme officier de l’Armée du Salut ?

J’ai deux grands espoirs, pour ce temps de formation. D’une part, je me réjouis beaucoup d’acquérir des connaissances théologiques. J’aime les réflexions scientifiques et c’est un domaine que je trouve passionnant. D’autre part, et c’est encore plus important, j’aspire à grandir dans la foi et à entrer dans une relation toujours plus étroite avec Dieu. Je pense que c’est la base fondamentale pour pouvoir vivre un service béni par la suite.

Quel est votre objectif à long terme ? Dans quel domaine imaginez-vous votre service au sein de l’Armée du Salut ?

Jésus m’a plusieurs fois adressé un appel concret à « prendre soin de ses brebis ». Je me vois donc bergère, éventuellement dans un service à l’étranger, mais c’est une autre histoire.

Avez-vous un credo ou un verset à appliquer au quotidien ?

Ces dernières années, Dieu m’a mise au défi de lui faire confiance et invitée à ne pas voir la montagne devant moi, mais à franchir une étape après l’autre en me reposant sur lui. Comme pour une randonnée en montagne ou un entraînement au marathon, je peux simplement croire sa promesse qu’il pourvoira à tous mes besoins, à chaque étape, et qu’il marchera à mes côtés ! Honnêtement, je commence la formation avec une certaine crainte, mais je crois que Jésus me « tirera » pas à pas pour franchir cette montagne.

Auteur
Miriam Schulz

Publié le
23.5.2018